L’immobilier est un secteur qui rapporte gros de nos jours. Le marché immobilier est un moyen sûr de rentabiliser une capitale importante. Elle désigne les biens immobiliers résidentiels ou commerciaux qui peuvent être loués, achetés ou vendus. On parle souvent d’acheter de la pierre en France lorsque l’on souhaite investir dans l’immobilier.
Pourquoi investir dans les immeubles résidentiels ?
Investir dans une résidence principale ou secondaire fait partie de la catégorie d’investissement immobilier de jouissance. Cela signifie que le but premier est de profiter vous-même de ce bien immobilier. Trouvez plus d’information dans un site intéressant que nous vous proposons. Cet investissement apporte deux types de gains financiers. La première est l’économie effectuée sur les loyers que vous n’aurez plus à payer en étant propriétaire, et la hausse de la valeur du bien immobilier au fil des années. Pour une résidence secondaire, il est également possible de générer des revenus via la location saisonnière, en louant le bien lorsque vous ne l’occupez pas.
Autre moyen d’investir dans l’immobilier
Outre l’investissement résidentiel, on distingue également un autre type d’investissement aussi rentable que la première. Il s’agit de l’investissement locatif. Cela consiste à acheter un bien pour le louer, et ainsi percevoir un rendement régulier avec le paiement des loyers. Le principal inconvénient est que cela demande un important investissement personnel. En effet, vous êtes responsable des achats de vos biens immobiliers, de la gestion locative, des déclarations fiscales, de l’entretien et des travaux. Par défaut si on ne choisit aucun dispositif fiscal, on fait de la location nue. Dans ce cas, la fiscalité est assez lourde. L’imposition se base sur une assiette de 70 % des revenus fonciers après un abattement forfaitaire de 30 %, ou au choix sur une assiette des revenus fonciers diminuée des frais réels. Le taux d’imposition peut monter jusqu’à 45 % de cette assiette, selon votre tranche marginale d’imposition (TMI). Il faut également tenir compte des 17,2 % de prélèvements sociaux à ajouter. En définitive, la location nue présente de nombreux inconvénients fiscaux.